Quelle tristesse. Nous perdons un voisin précieux, serviable, à l’écoute, qui aimait transmettre son païs et notamment ses oliviers. J’aurai toujours une pensée pour lui en regardant cette jeune pousse d’Olivier qu’il m’avait donnée et qui grandit dans mon jardin, en taillant mes oliviers qu’il aimait venir « inspecter »pour voir si la taille était bonne. C’est à lui que je penserais lorsque j’irai au moulin des Vans. Mes pensées accompagnent aussi la communauté des frères maristes qui perdent un des leurs, comme nous , à l’école, perdons notre père Noël…
Julie, Louise, Gaspard, ses voisins de Vinezac.