Chers Jean, Mathieu, Nicolas, chèr(e)s cousines et cousins,
C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le décès de Florence par Caroline. Sa disparition soudaine m’a profondément émue et touchée. Je partage votre peine et mes pensées les plus profondes vont vers vous en ces moments si douloureux.
Je vous adresse dès à présent mes plus sincères condoléances. Mon travail et la santé de ma fille ne me permettront pas d’être à vos côtés, jeudi, à Aubenas pour lui rendre un dernier hommage, mais je serai là par la pensée tout au long de la journée.
Avec toute mon affection,
Marianne