La turbulente et adorable petite moujik que nous avons connue sur les rives du Congo ne deviendra pas une gentille babouchka. De l'Afrique aux bords de l'Ill, des torrents ardéchois au petit bassin de ses grands-parents, elle promenait un beau sourire et les tourments de l'âme russe. Nous avons aimé sa gentillesse et sa serviabilité et espéré la revoir bientôt dans son joli petit appartement. Mais elle nous a quittés trop vite et il ne nous restera plus que le souvenir des moments heureux. Pour toi, chère Béa, les "Malinka" chanteront le superbe chant géorgien qu'elles dédient à tous ceux qui leur sont chers.